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ESU: le président de la République déterminé à redorer l’image de l’UNIBU, réaffirme Pacifique Kahasha

Par Sarah Abibo 

Le chargé de mission du président de la République démocratique du Congo, Félix Tshisekedi, à l’Est du pays, Pacifique Kahasha dans sa tournée en Ituri, a visité ce lundi 14 octobre 2024, le bâtiment de l’université de Bunia (Unibu) en cours de construction, situé à plus ou moins 10 km du centre ville de Bunia, chef-lieu de la province de l’Ituri.

Sur terrain, les travaux s’accélèrent pour atteindre l’objectif 2025, a-t-il précisé. Déjà, l’amphithéâtre de 200 places, un bâtiment administratif de Comité de gestion, des facultés et des bureaux des professeurs, un laboratoire moderne, des homes des filles et garçons séparés pouvant héberger plus de 400 étudiants, sont en pleine construction, a remarqué l’émissaire du chef de l’État congolais, qui couvre l’Est du pays, Monsieur pacifique KAHASHA:

«Nous avons étudié au Maroc, mais nous n’avions pas de chambres aussi spacieuses. Donc, on peut vraiment dire qu’ici, les universités qui sont en train d’être construites, sont des universités de la toute dernière génération».

Une évolution satisfaisante aux yeux de Ghyslain Atiaboli, un jeune leader de l’Ituri, ayant aussi palpé du doigt la réalité du terrain. Félicitant le chef d’oeuvre, M. Atiaboli salut l’œuvre du président de la République Félix Antoine Tshisekedi pour son sens élevé de développement de l’Ituri en particulier et de toute la RDC en général.

«Le président de la République avait promis de construire une université à Bunia et voilà le projet est en train d’être réalisé. Aujourd’hui, les étudiants de Bunia ne vont plus envier d’aller étudier ailleurs, même en Europe parce qu’on a vu des chambres qui sont en train d’être construites ici, c’est comme en Europe».

A signaler, il est prévu que le nouveau site de l’Unibu en construction, puisse accueillir plus 2.400 étudiants en raison de 200 par auditoire, remplissant ainsi toutes les conditions nécessaires pour un bon déroulement de l’enseignement comme on pouvait retrouver dans n’importe quelle université de grande classe.

Sarah Abibo

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